Faire la nique au nycthémère,
en sa caverne ou sous les cieux,
est un passe-temps éphémère
mais carrément délicieux
Faire la nique au nyctalope
qui bouboule dans mon verger,
où grouille une faune interlope,
ne saurait trop le déranger
Faire la nique au nycticèbe
qui glandouille dans son banian,
au grand dam de l’érythrocèbe,
laisse de marbre ce gnangnan.