Ce drôl’ de bonhomme,
plus bobof que bobohème,
se la joue poète.
Après sifflé deux absinthes
Il pond des sizains,
pour d’impossibles gazettes
imprimées sur papier beige,
pour du très beau linge.
À partir de trois absinthes
son esprit s’absente,
sa muse en déconnant.
lui bricole des sonnets
à la Japonaise.
C’est son côté kamikaze.