Le pélikangourou

Le pélikangourou, dont le pelage est roux — bien qu’on en répertorie quelques gris, — et le fruit des amours de deux épatantes espèces.

 

Les marsupiaux et les palmipèdes. 

 

Pour promener ses petits, madame pélikangourou dispose d’une poche ventrale, mais aussi d’une autre poche sous le bec. Ce qui la rend très populaire auprès du petit peuple des pélicanus.

 

Mi marsupial, mi palmipède,

 

pour apaiser l’appétit de ses pioupious papa pélikangourou pêche. Et quand il n’a rien pêché, il les nourrit de ses entrailles. Musset, le bel Alfred, ce géant de la plume, a sublimé ce sacrifice. Devenant ainsi, l’incontesté gourou des pélikangourous.