Il fallait être siphonnée,
et bien plus qu’un peu croyez-m’en,
pour s’offrir cette randonnée
sous la fureur des éléments.
Et vous voici désarçonnée
de vous trouver, sans vêtement
sec, quasiment congestionnée.
Je crois qu’il vous faut, chère Hortense,
vous dévêtir de toute urgence
afin de vous chauffer aux feux
du foyer et de gentils jeux.
C’est, je crains, votre unique chance.