Floribonde

Une senteur nauséabonde 

avilissant son bel évier, 

la romanesque Floribonde 

a mandé son pote Olivier.

 

Inspiré, l'humeur vagabonde, 

tel un poète à son clavier,
il dévisse l'écrou de bonde 

en ce clair matin de janvier. 

 

En position mahométane,

dans les effluves de méthane,

il offre au regard son aubier.

 

Lors la Flory, sur son smartphone, 

immortalise en polissonne,

son frais sourire du plombier.