Le ciel est par-dessus le toit
et le toit par-dessus ma chambre.
C’est un beau ciel de fin-septembre
dont l’azur me laisse pantois.
Si bleu, si calme,
comme tes yeux cyanophtalmes.
Un arbre par dessus le toit,
mais par-dessous le ciel quand même,
m’incite à pondre des poèmes
où il serait question de toi.
Toi, qui tant alme,
berce sa palme.