C'est une rude orthogonale
qui, sans ménagement, empale
un brave et malheureux segment.
On appelle la « médiatrice ».
Avec un culot désarmant,
elle prend son aise et s'installe
sur sa victime qui ne râle,
ni même appelle sa maman.
Et on l’appelle médiatrice !
Cette insupportable adventice
me courait sur le singleton.
Pour stigmatiser sa malice,
il fallait que je l’écrivisse,
ce faux sonnet, ce mirliton !