Qui se souvient des i-rondels,
ces similiverzérotiques
qu’un rimailleur internautique
diffusait sur le minitel ?
Dans les bureaux et les fabriques,
on ne vit jamais rien de tel.
À l’insu de chefs despotiques,
on dévorait ses i-rondels.
Mais un vilain soir de novembre,
vu qu’il n’était pas immortel,
sans un mot, dans sa petit’ chambre,
le gus niqua son logiciel.
Et l’on ne vit plus d’i-rondels.