Je savais plein de théorêmes,
mais je détestais la philo.
Pour en causer dans un poème,
je me sens donc un peu ballot.
Aristote, Hegel, Locke et même
Spinoza, le plus rigolo,
me tapaient sur l’égosystème
et m’encombraient le ciboulot.
Lors, c’est avec philosophie
qu’à mon clavier je versifie
sur ce thème un pseudo-sonnet.
S’il est jugé funambulesque,
rébarbatif, débile ou presque,
je m’en tamponne un tantinet.