Epilandrin

Pour louer galament votre lippalafrèze,

hyperbelle Ypomée, ce textule est farci

de moult épilandrins à la puissance treize.

J’ai ciergé Saint Turnoir pour qu'il soit réussi. 

 

Tel fit un oiseau-lyre en l'an nonante-seize,

je l’ai déchevillé sans la moindre merci.

Les quatrains effeuillés lors d’une mollaçèze,

je vous ai bidouillé les tercets que voici :

 

« Depuis qu’Érossenflamm a décoché sa flèche, 

enveloutée de rose une âme se dessèche

et de l’aube au couchant n’inspire que pour vous. 

 

Sachez qu’à mon ptiqueur il n'est rien d’impossible.

Puisse ces vers missots ensorceler leur cible

et que j'obtienne enfin cet alme rendez-vous.»